En Dieu seul le repos pour mon âme, de lui mon salut; lui seul mon rocher, mon salut, ma citadelle, je ne bronche pas.
Jusques à quand vous ruer sur un homme et l'abattre, vous tous, comme une muraille qui penche, une clôture qui croule? Ils ne pensent qu'à lui faire perdre sa dignité ils prennent plaisir au mensonge ; de la bouche ils bénissent, au-dedans ils maudissent.
En Dieu seul repose-toi, mon âme, de lui vient mon espoir; lui seul mon rocher, mon salut, ma citadelle, je ne bronche pas; en Dieu mon salut et ma gloire, le rocher de ma force.
En Dieu mon abri, fiez-vous à lui, peuple, en tout temps, devant lui épanchez votre coeur, Dieu nous est un abri !
Un souffle seulement, les fils d'Adam, un mensonge, les fils d'homme; sur la balance s'ils montaient ensemble, ils seraient moins qu'un souffle.
N'allez pas vous fier à la violence, vous essoufflant en rapines; aux richesses quand elles s'accroissent n'attachez pas votre coeur !
Une fois Dieu a parlé, deux fois, j'ai entendu. Ceci : que la force est à Dieu, à toi, Seigneur, l'amour; et cela : toi, tu paies l'homme selon ses oeuvres.
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