A l'heure de ma mort, O Marie que j'ai tant de fois invoquée, soyez près de ma couche.
Soyez-y comme y serait ma mère si elle vivait encore.
Peut-être que ma langue paralysée ne pourra plus prononcer votre nom mais mon coeur le redira toujours...
Je vous appelle maintenant pour ce moment redoutable.
Serai-je seul, expirant loin de tout secours ?... seul sans une main amie pour me fermer les yeux ?
Je mourrai souriant, parce que vous serez là.
Je l'espère.
Je le crois.
J'en suis sûr !...
reçu par e-mail de France
|
|