On a toujours le choix, c'est une évidence. On n'a pas tous les choix mais on a toujours le choix. Devant toute épreuve, on a l'option d'en mourir ou d'y survivre et devant l'échec, le choix de s'aimer ou de se détruire. Devant les imprévus, on possède la liberté de rire ou de pleurer et dans l'adversité, le choix de pardonner ou de culpabiliser. Au milieu de la confusion, on a toujours la faculté de voir et de croire, l'alternative de se fermer et d'oublier. Au coeur de la détresse, on détient un éventail de paroles et de silences, le loisir de parler ou de se taire. Devant une décision, on a le pouvoir d'agir ou de rester immobile, et par dessus tout, le choix de rester ou de partir.
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