Seigneur, comme le roi fait chercher ses invités pour la noce de son fils, Tu nous convies, Toi aussi, au festin. Tu nous offres ton amour, et attends que nous offrions en retour le nôtre, que Tu deviennes le centre convergent de nos vies. Mais, de même que les hôtes importants, et les occupés récusent l'invitation au festin, nous sommes pris dans le tourbillon de nos vies un peu ou pas de place en nous. A qui, alors, donneras-tu la meilleure part ? Aux pauvres de coeur, tous ceux que la vie a mis à l'épreuve. Puisse, Seigneur, cette parabole forte et mystérieuse nous habiter et nous troubler. Nous donner envie de devenir, nous aussi, des suppliants attentifs à répéter : Viens, Seigneur, Viens ! Des invités pressés de rejoindre le festin.
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