Mon Dieu, comme un très vieil outil, je ne suis plus bon à grand'chose, ne travaillant qu'au ralenti, puisqu'il faut que je me repose...
Pourtant, je reste entre vos mains, peut être vous serai je utile ? Que ce soit le soir, le matin, vous me verrez toujours docile.
Si je peux encore vous servir, vous m'emploierez à tel ouvrage Que seul vous saurez bien choisir, mais donnez moi force et courage.
Vous me manierez doucement, avec votre bonté divine, connaissant l'état déficient, de ma misérable ''machine''.
Et puis un jour, dans votre ciel, j'en ai la très ferme espérance, auprès de vous, Père éternel, je commencerai mes vacances.
reçu par e-mail
|
|