Bien-Aimé, mon coeur se serre, La pensée qu'ils ont osé, Te railler, Toi menacé !
Toi mon Roi d'Amour, Te couronner d'épines, Te couvrir de pourpre !
Le Visage si vénéré, Le Visage adoré, Couvert de coups. Souillé de crachats.
J'ai mal d'imaginer, Ils Te conduisent, au lieu dit du crâne, Toi l'Agneau mené Tel un infâme !
La Vérité devant eux, Ils ne l'ont pas reconnue, Ton corps et ton coeur, Transpercés !
Pour nous Tu as accepté, De tant souffrir, Par Amour, Tu as accepté, de tant mourir !
L'abandon, le mépris Tu l'as ressenti. Tant d'indifférence, Et de l'âme la nuit !
C'est à Jérusalem, Qu'on a voulu détruire, l'Amour le plus pur, l'Amour le plus sacré !
Mais après le calvaire, Vient le plus beau matin, Le plus beau de toujours, La Vie vaincra la mort, Désormais, La Lumière resplendit, Et les ténèbres à jamais Rejetées .....
reçu par e-mail de Belgique
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