Tu m'as fait connaître à des amis que je ne connaissais pas. Tu m'as fais asseoir à des foyers qui n'étaient pas le mien.
Celui qui était loin, tu l'as rendu tout proche et tu as fait un frère de l'étranger.
Pour celui qui te connaît, nul n'est plus étrange ou hostile : plus une porte n'est fermée.
Oh! accorde-moi cette grâce : permets que je ne perde jamais le bonheur de la rencontre de l'Unique, parmi le jeu de la diversité.
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